Renault veut améliorer la compétitivité de ses usines,
- Si Renault et les syndicats parviennent à un accord sur les mesures d’amélioration de la compétitivité des usines françaises du groupe, le constructeur s’est engagé à ne fermer aucun site. Des postes pourraient néanmoins être supprimés.
- Chacune des quatre réunions prévues (la prochaine se tiendra le 29 novembre) sera l’occasion de définir les grands principes d’organisation de l’outil industriel français de Renault à mettre en œuvre. Si les syndicats et la direction trouvent un accord sur l’ensemble des mesures proposées, Renault pourrait s’engager à ne pas fermer d’usine en France, malgré un marché européen sans véritable croissance.
- Aujourd’hui, les usines françaises de Renault sont en sous-production par rapport à la moyenne européenne. Elles produisent en moyenne 110 000 à 130 000 véhicules contre 170 000 pour les usines automobiles européennes (tous constructeurs confondus).