- Mia Electric (dont l’usine est située à Cerizay, en France, dans l’ex-usine Heuliez) n’a pas trouvé son public en 2012. Alors qu’il comptait en écouler 12 000 unités l’an dernier, le constructeur n’en a vendu que 800, dont la moitié en France. « Le marché de la voiture électrique ne s’est pas développé aussi vite que nous le pensions », reconnaît M. Laurent Buffeteau, directeur général de l’entreprise.

- Malgré ces mauvais résultats, Mia Electric croit à l’avenir de son véhicule. L’entreprise commence même bien l’année puisqu’elle vient de signer un contrat avec l’Ugap (la centrale d’achat de la fonction publique), portant sur l’achat de 500 véhicules sur trois ans.

- Mia Electric espère également conquérir de nouveaux marchés. La société veut se développer en Norvège, qui possède le parc de véhicule électrique le plus développé en Europe (cette particularité date de la Think qui y fut produite pendant plusieurs années), mais aussi dans les pays du Sud (Italie, Grèce, Turquie).

- Pour rendre son véhicule plus polyvalent, Mia Electric travaille aussi à l’élaboration d’une Mia fonctionnant à l’hydrogène (??!!). L’autonomie atteindrait alors près de 500 km, contre seulement 125 km pour la version électrique. Ce projet est à ce jour au stade de développement.