Bilan marché automobile VP+VUL Canada 2016,
 Le marché automobile canadien (VP+VUL) a augmenté de 2,7% en 2016, à 1,95 million d’unités. Le marché canadien s’est ainsi rapproché des 2 millions d’unités, pour la première fois de son histoire. Les immatriculations de light trucks ont augmenté de 9,2% alors que celles des voitures particulières ont reculé de 8,1%. La physionomie du marché canadien suit donc la tendance initiée sur le marché US, où les ventes de light trucks sont désormais largement majoritaires. En 2016, les ventes de véhicules sur le marché canadien se sont ainsi réparties en 66% de light trucks et 34% de voitures particulières (aux Etats-Unis, la proportion est de 61% de ventes de light trucks et 39% de ventes de voitures particulières).

La plupart des grands constructeurs ont vu leurs ventes progresser en 2016, sauf FCA, VW et Mazda. Le groupe Ford devient ainsi le leader du marché canadien en 2016 (305 000 unités), devant FCA (279 000 unités), qui perd sa première place, et GM (267 000 unités) qui se rapproche de FCA. Ces trois constructeurs sont leaders dans le domaine des pick-up et des SUV, ce qui les a avantagé l’an dernier, dans la mesure où la catégorie des light trucks a beaucoup progressé en 2016.

Du coup, les constructeurs asiatiques, comme Toyota (220 000 unités), Hyundai-Kia (210 000 unités), Honda (187 000 unités) et Nissan (134 000 unités) sont maintenus à bonne distance.

Le marché canadien dépassera pour la première fois les 2 millions d’unités (VP+VUL) en 2017.

 
17-4-10
   

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Bilan marché Russie 2016 par modèles : Top 15,
 
Sur un total de 1,4 million de voitures particulières neuves écoulées en Russie en 2016, le constructeur coréen Hyundai-Kia parvient à placer deux de ses modèles aux deux premières places sur le marché russe : les Hyundai Solaris et Kia Rio. Ces modèles sont produits en Russie, dans la même usine de Saint Pétersbourg. Autovaz, filiale du groupe Renault-Nissan, place deux de ses modèles aux troisième et quatrième place sur le marché russe : les Lada Granta et Vesta. D’après les chiffres enregistrés, la Vesta aurait d’ailleurs pris des clients à la Granta, puisque la Vesta a augmenté ses ventes de 50 000 unités en 2016 alors que la Granta en a perdu 47 000 sur la même période.

Parmi les 11 modèles suivants, Lada place 2 modèles (Largus, Niva), Renault 3 modèles (Duster, Logan, Sandero), Toyota 3 modèles (RAV4, Camry, Land Cruiser), Volkswagen 1 modèle (Polo), Skoda 1 modèle (Rapid), Chevrolet 1 modèle (Niva).

Sur les 15 modèles les plus vendus en Russie en 2016, on dénombre 10 berlines/breaks et 5 SUV. Les SUV représentent déjà 25% des immatriculations en Russie en 2016, contre 20% en 2015.

Parmi les berlines/breaks cités plus haut, on dénombre une majorité de modèles de segment C, devançant les modèles de segment B. La première berline de segment D est la Toyota Camry est située en treizième position sur le marché russe. Ce modèle est produit en Russie comme la totalité des 15 modèles les plus vendus en Russie.

 
17-4-8
   

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Bilan marché automobile VP+VUL Russie 2016,
 
Le marché automobile russe (VP+VUL) est parvenu à  limiter sa chute en 2016 (-11% par rapport à 2015), après trois années où les ventes de véhicules ont dégringolé quasiment de moitié, passant de 3 millions en 2012 à 1,6 million en 2015. Le marché russe semble s’être enfin stabilisé en 2016 (1,43 million d’unités) et il semble, d’après les chiffres des trois derniers mois de l’année (-2,5% en octobre, +0,6% en novembre et -0,8% en décembre) que ce marché pourrait retrouver le chemin de la croissance dès 2017. Le gouvernement russe a d’ailleurs décidé de relancer ce marché par des mesures économiques de grande ampleur. Ilprévoit ainsi une hausse de 7% des ventes de véhicules sur l’ensemble de l’année qui commence.

Le marché russe pourrait également bénéficier d’une levée partielle des sanctions économiques prises à l’encontre de la Russie et aussi de la montée des cours du pétrole qui reste un produit important dans l’économie russe.

En 2016, en tout cas, le marché russe revient à ses niveaux les plus bas enregistrés depuis une douzaine d’années (avec les années 2005 et 2009). Dans ce contexte, le groupe Renault-Nissan est resté le leader du marché, avec 477 000 unités (266 000 Autovaz, 117 000 Renault et 94 000 Nissan), devançant les groupes Hyundai-Kia (295 000 unités), Volkswagen (162 000 unités) et Toyota  (119 000 unités). La plupart des constructeurs ont vu leurs ventes baisser en 2016, sauf Toyota, GAZ, UAZ, Ford et BMW. A noter que GAZ et UAZ sont des constructeurs 100% russes.

 
17-4-7
   

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Seat dévoile la nouvelle génération de l’Ibiza (segment B),
 
La marque Seat, filiale du groupe Volkswagen, a dévoilé la cinquième génération de l’Ibiza (berline de segment B) qui reprend la plateforme MQB du groupe, sous sa forme compacte MQB-A destinée aux voitures de segment B, comme les Seat Ibiza, VW Polo, Skoda Fabia, Audi A1 et leurs futurs dérivés SUV.

La nouvelle Ibiza s’inspire du style de la Seat Leon (berline de segment C) lancée en 2012. La précédente Ibiza datait elle de 2008 (restylée en 2012), ce qui fait une carrière de neuf ans, un délai relativement long aujourd’hui, surtout pour un modèle de grande diffusion et de segment B.

La nouvelle Ibiza (toujours fabriquée à Martorell en Espagne) s’attaque au marché des voitures européennes de segment B, la marque Seat étant principalement commercialisée sur le marché européen. Il s’agit donc de concurrencer les VW Polo, Renault Clio, Ford Fiesta, Opel Corsa, Peugeot 208, Toyota Yaris, Nissan Micra, Mazda 2 et Honda Jazz.

Les dimensions de la nouvelle Ibiza sont revues à la hausse (+9cm en largeur et +9cm en longueur). Les motorisations retenues seraient le 1.0 TSI essence (95ch et 113ch) qui éclipserait le 1.2 TSI essence (110ch) et le 1.6 TDI diesel (79ch et 94ch) qui éclipserait le 1.4 TDI diesel (75ch et 90ch). Les 1.4 TSI (150ch) et 1.8 TSI (192ch) pourraient être reconduits.

Inovev table sur 175 000 Ibiza produites chaque année sur le site espagnol de Martorell.

 
17-4-6
   

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La concentration au sein de l’industrie automobile japonaise est en marche,

 

La concentration au sein de l’industrie automobile japonaise est en marche. Au départ représentée par onze constructeurs différents (Toyota, Nissan, Honda, Suzuki, Daihatsu, Mazda, Mitsubishi, Subaru, Isuzu, Hino, Prince) l’industrie automobile japonaise a commencé sa consolidation dans les années 60 et 70, avec le rachat des marques Daihatsu et Hino par Toyota, et le rachat de la marque Prince par Nissan.

Dans les années 80 et 90, Ford et GM achetèrent progressivement une part du capital de Mazda, d’Isuzu et de Subaru. En 1999, Nissan passa sous le contrôle de Renault. Dans les années 2000, les velléités des constructeurs américains de contrôler Mazda (Ford), Isuzu (GM) et Subaru (GM) échouèrent en raison de la crise financière de 2008-2009 qui les fragilisa.

De même, l’éclatement du groupe DaimlerChrysler redonna son indépendance à Mitsubishi qui avait été choisi pour intégrer le groupe germano-américain. Aujourd’hui, de nouvelles opportunités apparaissent. Mitsubishi est passé sous le contrôle du groupe Renault-Nissan fin 2016 et Toyota a racheté une partie du capital de Subaru (16%) et Isuzu (6%). Et le fait le plus récent est le rapprochement en cours de Toyota et de Suzuki, mais qui n’a pas encore débouché sur un accord capitalistique.

En conclusion, l’industrie automobile japonaise pourrait bien se résumer d’ici à 2020 à deux groupes d’envergure mondiale, il s’agit de Toyota-Suzuki et Honda, les autres constructeurs japonais étant des filiales de constructeurs étrangers.

 
17-4-4
   

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