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Inovev a comparé l’évolution du volume de production mondiale des constructeurs français par rapport à celle du volume de production des constructeurs allemands de 2010 à 2024. Il faut d’abord bien définir ce que l’on entend par « constructeurs français » et par « constructeurs allemands ».
Aux grands constructeurs français historiques, Renault et PSA Peugeot-Citroën, il faut ajouter leurs acquisitions comme Dacia (1999), Nissan (1999), Samsung (2000), Avtovaz (2011) pour Renault, Chrysler Europe (1978), GM Europe (2017) pour PSA. La fusion PSA-FCA en 2021 est prise en compte par Inovev, Stellantis étant un groupe à forte influence française (mais aussi italienne). On pourrait d’ailleurs considérer Stellantis comme un groupe 50% français et 50% italien.
Aux grands constructeurs allemands historiques, Volkswagen, Mercedes et BMW, il faut ajouter leurs acquisitions comme Audi (1965), Seat (1986), Skoda (1991), Bentley (1998), Lamborghini (1998), Porsche (2012) pour Volkswagen, Smart (1998) pour Mercedes, Mini (1994), Rover (1994), Rolls-Royce (2003) pour BMW.
Cette définition étant mise en œuvre ici, on observe que les constructeurs allemands sont passés progressivement d’un volume de 16 millions de véhicules produits chaque année entre 2017 et 2019 à 13,5 millions en 2024. Pour les constructeurs français, la situation est encore plus médiocre, puisque leur volume de production est passé de 14 millions d’unités en 2017-2018 à 8,5 millions en 2024. Malgré l’apport de FCA en 2021, les constructeurs français ont perdu Avtovaz en 2022 et Nissan en 2023.