Le marché brésilien (VP+VUL) a augmenté de 14,6% en 2018,
Le marché automobile brésilien (VP+VUL) a augmenté de 14,6% en 2018, à 2,57 millions d’unités contre 2,24 millions en 2017, année qui avait déjà enregistré une augmentation de 9,4% par rapport à 2016.

Le redémarrage du marché brésilien s’est donc accentué en 2018, après la chute des ventes qui avait affecté ce marché entre 2013 et 2016, en raison d’une très mauvaise conjoncture économique. En 2016, le marché brésilien était tombé à 2 millions d’unités, contre près de 4 millions en 2012. Inovev prévoit un marché de 2,8 millions en 2019 et 3 millions en 2020.

L’évolution du marché brésilien est très différente de celle des marchés argentin et mexicain qui sont à la baisse en 2018. Tous les grands constructeurs (sauf PSA) ont profité de cette tendance haussière.

On note que l’écart entre les trois premiers constructeurs présents au Brésil s’est resserré l’an dernier. Le groupe GM reste de justesse le leader du marché, avec une part de marché de 16,9%, devant les groupes Fiat-Chrysler (16,8%) et Volkswagen (15,9%). Ce dernier est celui qui a le plus progressé en 2018.

Nettement distancés, car arrivés plus tard sur ce marché, les groupes Renault-Nissan (12,2%), Ford (9,2%), Hyundai-Kia (8,4%), Toyota (7,8%) et Honda (5,1%) devancent les constructeurs Premium et PSA. Ce dernier est le seul à voir ses ventes diminuer.

Les berlines restent largement majoritaires sur le marché brésilien (61% du marché, contre 25% pour les SUV).


    
 

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Inovev prévoit 75 000 unités du nouveau VUL Opel Vivaro,
Précédemment basé sur le Renault Trafic, suite à des accords anciens signés entre Renault et le groupe GM,  l’Opel Vivaro change complètement de physionomie en 2019. Il reprend désormais la plateforme, les motorisations et la carrosserie des Citroën Jumpy, Peugeot Expert et Toyota ProAce, suite au rachat d’Opel par le groupe PSA. La face avant du nouvel Opel Vivaro est personnalisée afin de le différencier des autres VUL du groupe PSA partageant la même base.

Le nouvel Opel Vivaro continuera à être fabriqué sur le site Opel-Vauxhall de Luton, puisque ce site a été repris par PSA lors du rachat d’Opel, mais certaines versions qui étaient fabriquées sur le site Renault de Sandouville ne le seront plus désormais.

Le site de Luton disposant d’une capacité de production de 100 000 véhicules par an devrait pouvoir fabriquer 75 000 Vivaro chaque année selon Inovev, auxquels devraient s’ajouter 15 000 Citroën Jumpy et Peugeot Expert à destination du marché britannique.

Depuis 2013, les ventes de l’Opel Vivaro ont bien profité de la croissance du marché européen des véhicules utilitaires légers. Elles ont pratiquement doublé entre 2012 et 2018, passant de 40 000 à 75 000 unités.

Le nouvel Opel Vivaro est doté des motorisations diesel 1.6 et 2.0 adoptées par les Citroën Jumpy, Peugeot Expert et Toyota ProAce, et comme ces derniers, il devrait adopter prochainement une motorisation électrique.


    
 

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Le marché japonais (VP+VUL) a été stable en 2018 (+0,7%),
Le marché automobile japonais (VP+VUL) a été quasiment stable en 2018, puisqu’il a enregistré une très modeste augmentation de 0,7%, à 5,27 millions d’unités, contre 5,23 millions en 2017.

Depuis 2012, un an après le violent tsunami qui a perturbé l’ensemble de l’industrie automobile japonaise, le marché japonais est resté stable aux alentours de 5,0 / 5,4 millions d’unités, niveau très éloigné de celui enregistré dans les années 90 qui dépassaient largement les 6 millions d’unités par an (et même les 7 millions entre 1989 et 1991).

Plusieurs raisons peuvent expliquer le niveau bas du marché, des raisons structurelles (vieillissement de la population et démographie déclinante, la très forte densité des grandes villes, l’intérêt décroissant des jeunes autour de la voiture) mais aussi des raisons conjoncturelles telles que la croissance économique stagnante face à la montée de la Chine et de la Corée.

Dans ces conditions, les constructeurs japonais ont tous vu leurs ventes se réduire sur le marché japonais. Le groupe Toyota reste néanmoins le premier constructeur au Japon, avec une part de marché de 43,3% en 2018 (dont 30% pour les marques Toyota-Lexus), devançant largement Honda (14,2%), Suzuki (13,6%), Nissan (11,7%), Mazda (4,2%), Subaru (2,8%) et Mitsubishi (2,0%). Pour 2019, en raison d’un ralentissement de la croissance économique mondiale, Inovev prévoit une baisse du marché japonais de l’ordre de 3%, celui-ci retombant à 5,1 millions d’unités. 


    
 

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Inovev prévoit entre 10 000 et 15 000 unités par an de la nouvelle Toyota Supra,
Toyota relance le nom Supra (abandonné en 2002) sur une nouvelle génération de coupé qui partage sa plateforme avec la récente BMW Z4 (qui n’existe qu’en version cabriolet).

Les deux modèles sont fabriqués dans la même usine, celle de Magna-Steyr qui est située à Graz en Autriche. C’est d’ailleurs la première fois qu’un modèle Toyota sera fabriqué sur ce site.

Alors que la BMW Z4 est disponible dans deux motorisations différentes, une version 4 cylindres 2.0 (185ch/245ch) et une version 6 cylindres 3.0 (340 ch), la Toyota Supra n’aura droit qu’à la version 6 cylindres 3.0 de 340ch.

La Toyota Supra mesure 4,38m de long, 1,85m de large et 1,29m de haut, c’est à dire qu’elle est plus longue, plus large et mais aussi basse que le coupé Toyota GT86, qui est dérivé de la Subaru BRZ, un coupé d’un segment de gamme inférieur.

Selon Toyota, le style de la nouvelle Supra a été inspiré par la célèbre Toyota 2000 GT commercialisée à la fin des années 60.

Toujours selon Toyota, la Supra devrait être commercialisée à partir de l’été 2019, et près de 1 000 unités devraient être vendues sur le continent européen au cours de sa première année de commercialisation. Ses principaux marchés devraient donc être la Chine et les Etats-Unis. Inovev prévoit entre 10 000 et 15 000 Supra vendus chaque année. Ses concurrentes en Europe sont principalement les Porsche Cayman et Renault Alpine.


    
 

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Le marché russe (VP+VUL) a augmenté de 12,8% en 2018,
Le marché automobile russe (VP+VUL) a augmenté de 12,8% en 2018, avec un volume de 1,8 million d’unités, contre 1,6 million en 2017, année qui avait déjà enregistré une augmentation de 11,9% par rapport à 2016.

Le redémarrage du marché s’est donc accentué en 2018, grâce à un retour d’une conjoncture économique locale plus favorable, mais on est encore loin des records d’immatriculations de 2012 où le marché russe s’était approché des 3 millions d’unités.

Selon Inovev, le rattrapage devrait se poursuivre en 2019, malgré une conjoncture économique mondiale moins favorable, en raison d’une croissance ralentie. Le marché russe devrait pouvoir s’approcher de nouveau de la barre symbolique des deux millions d’unités cette année, ce qui représente une augmentation de 10% environ par rapport à 2018.

Les constructeurs ont tous profité de la relance du marché russe en 2018, sauf évidemment GM qui s’est retiré du marché russe il y a plusieurs années. Ford a indiqué de son côté qu’il étudiait également un scénario de retrait du marché russe. Il devrait annoncer sa décision définitive au cours des prochaines semaines.

Dans ces conditions, le groupe Renault-Nissan (propriétaire du russe Autovaz) reste de loin le premier constructeur en Russie, avec une part de marché de 36% (dont 20% pour la marque Lada), devançant largement les groupes Hyundai-Kia (22,7%), Volkswagen (12,0%), Toyota (7,4%), GAZ (3,4%), Ford (3,0%), Daimler (2,5%), UAZ (2,3%) et BMW (2,1%).


    
 

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